Aïko est une jeune femme dans la fleure de l’âge, tout juste sortie de la trentaine. Son corps se dresse contre les adversités avec un entretien régulier qui ferait pâlir d’envie plus d’un coach sportif. Du haut de son mètre soixante quinze, Aïko atteint facilement le mètre quatre-vingt dès qu’elle porte des talons, pouvant ainsi regarder de haut une grande partie de la population japonaise.

La jeune femme est, à la base, dotée d’une chevelure d’un chatain foncé, mais étant d’un naturel coquet, elle a décidée de se teindre. Ses cheveux arborent à présent une très jolie couleur prune facile à accorder avec la plupart des couleurs, sauf les plus criardes. Mais n’allez pas lui dire que sa coloration est une couleur de “vieille”, ou il se pourrait bien que vous y perdiez la tête.

La garde robe d’Aïko est aussi diverse que variée, mais il faut savoir qu’elle ne sortira jamais de son trou en tenue de “combat”; elle devra s’apprêter pour sortir, refusant d’être moins que parfaite avant de se montrer aux yeux des autres. Bien sûr, elle ne s’habille pas comme ça pour les autres, mais pour son plaisir personnel, prenant un plaisir presque narcissique à se contempler dans un miroir.

Dotée d’une silhouette dite “pin-up”, Aïko est dotée de formes plus que généreuses, mais sans entrer dans la catégorie trop. Consciente de ses formes, autant dans leurs avantages que leurs inconvénients, elle a fait de la manipulation de son corps un art.

Au premier abord, AÏko est le genre de femme lambda qu’on peut croiser un peu partout, un sourire au lèvre, un mot gentil pour son prochain, bref, rien de bien méchant. Et pourtant, la jeune femme n’a rien de normal.

Parlons de ce qui la définit en premier, parlons de son fanatisme. Aïko est une fanatique religieuse, elle ne vit que par et pour son Dieu, Tengen. Par lui tout son monde passe, toutes ses envies, ses actions, sont dictées par ce que Tengen pourrait penser, faire où choisir. Elle n’a d’autre envie que de lui permettre d’être le meilleur de lui-même et se fera une joie de répandre la “bonne parole”. En tant que fanatique, AÏko ne juge pas ce que son Dieu décide de faire. Protéger les humains ? Très bien, elle l’aidera dans sa démarche et chassera les Fléaux ! Détruire le monde ? Pas de problème, elle prendra les armes et détruira les parasites qui peuplent le monde que son Dieu convoite. Elle n’a aucune limite quand elle ce que serait prête à faire pour lui, quitte à donner sa propre vie en sacrifice si cela pouvait lui faire plaisir.

Au second plan, il y a les parties mineures de sa personnalité. Par exemple sa grande coquetterie, qui lui demandera toujours d’être le meilleur d'elle-même. Si elle ne se mettra pas à pleurer face à un incident la rendant moins que parfaite, elle refusera de sortir de chez elle tant qu’elle ne se trouvera pas parfaite. Elle est le genre de personne à passer une bonne heure dans la salle de bain, ne serait-ce que pour sa coiffure et son maquillage. Elle aura également tendance à juger durement ceux qui ne prennent pas soin de leur personne, ayant ce petit geste de retroussement du nez dénotant d’un dédain certain. Pour elle, ceux qui ne prennent pas soin d’eux ne sont pas capables de prendre soin des autres, et bâclent donc les demandes de son Dieu. Si elle les utilisera si nécessaire, elle les méprisera profondément.

Perfectionnée, si ce n’est légèrement TOCée, la jeune femme désire que chaque chose soit à sa place et que chaque place soit définie. Ceux qui entreront chez elle trouveront un endroit parfaitement agencé qui ne supportera pas le désordre, et malheureux à celui ou celle qui tenterait d’y mettre le Chaos, iel pourrait se retrouver pendu.e et au plafond.

AÏko aime les choses mignonnes et jolies, mais cela ne l’empêche pas d’apprécier tout ce qui se qualifie de beau. Il pourra s’agir d’une adorable petite chose où d’une magnifique monstruosité, son sens de l’aesthétique pourrait poser question. Quand on peut l’entendre qualifier une araignée d’adorable ou un Fléaux sur musclé de cool, vraiment, on peut se poser des questions sur ses goûts …

De par son fanatisme (et de manière plutôt naturelle), Aïko ne juge pas les genres sur leur genre. Homme, femme ou autre, à partir du moment où la personne est Capable, elle s’en fiche. Il en va de même pour l’attraction qu’elle pourrait avoir pour quelqu’un, cela ne s’arrête pas à son physique. Tengen lui même changeant de corps comme de slip, elle ne se permettra pas de se montrer regardante là dessus.

Décrire l'histoire de son personnage.