Momiji est un jeune garçon d'un mettre 1m65, soit un peu plus petit que la normal par rapport a son âge. Il a des cheveux blond coiffer en effet coiffé-décoiffé, et a les yeux vert. Comme ses cheveux blond le laisse supposé il n'a pas une apparence japonaise typique et pour cause il est métisse, sa mère est effectivement japonaise mais son père lui est américain, ayant hérité ses cheveux de son père. Il est également à noter qu'il est myope, mais plutôt que de porter des lunettes, il utilise des lentilles.
Son style vestimentaire est on ne peut plus classique, n'ayant que peu d’intérêt pour la mode, du moment que sa assure sa fonction, c'est bon.

De nature peu expressive, il ne montre pas ses émotions restant stoïque dans la plus part des cas. C'est au travers des mélodies qu'il compose sur son ocarina qu'il permet d'entrevoir un peu de ses sentiments.

Contrairement à se que laisse penser sa carrure maigrichonne laisse penser, son corps est en excellente condition physique bien qu'il ne soit pas pour autant monsieur muscle. Cela est du à la pratique du Tai-Chi.

Ayant perdu ses parents alors que son frère n’était encore qu'un bébé, Momiji fut forcer de grandir vite et d'apprendre a masquer ses émotions. A force de devoir jour le rôle du grand frère responsable, Momiji à développer une grande maturité et un sang froid à toute épreuves.
Bien que d'apparence stoïque, il se soucie en réalité profondément des gens qui l'entoure.
C'est avec du recul que l'on comprend qu'il est de nature loyale et n’hésite à donner de sa personne.

C'est son calme olympien qui lui permet d'utiliser son sort innée avec une précision chirurgical, en fessant une arme meurtrière. Réfléchissant constamment à de nouvelle utilisation de son pouvoir, ou cherchant à anticiper au mieux le prochain mouvement de son adversaire.

C'est lorsque son frère est le sujet de conversation que sa personnalité fait un virage a cent quatre vingt degrés, montrant une facette beaucoup plus affectueuse, voir carrément "Brocon", quand Momiji est avec se dernier se dernier, il à tendance a le gâter d’ailleurs.

Bien qu'il puisse sembler insensible, Momiji est un mélomane, Il joue d'ailleurs de l'ocarina,  bien qu'il ne soit pas un virtuose il est suffisamment doué pour laisser entrevoir ses émotions a travers ses mélodie.

Il n'aime pas parler de ses origines, notamment de la nationalité étranger de son daron, avec qui il entretenait une relation pour le moins compliqué, étant beaucoup plus proche de sa mère...  Non pas qu'il n'aimait pas son père simplement qu'il n'avait du tout les même centre d’intérêt malgré l'insistance de se dernier.

Seulement éclairé par la lumière du claire de lune entrant par de légers espace entre les volets de sa chambre, Momiji n'arrivait pas à trouver le sommeil, il réfléchissait a tous se qui lui était arrivé, son départ pour l’école d'exorcisme étant prévu pour bientôt...
Le silence de la nuit, seulement entrecoupé par la respiration de Wakaba, blottit confortablement contre Momiji et profondément endormi, alors que Momiji ne serait plus là dans quel temps, il n'avait pas su refuser à son petit frère la faveur de passer ses dernières nuits à dormir ensemble...

-"Wakkun... contraction de "Wakaba-kun", c'est ainsi qu'il surnommait son frère adoré... je sais que je te manquerais... Est ce vraiment la bonne solution ? Est ce que je fais le bon choix ? Papa et Maman serait ils d'accord avec sa ?..."  
Autant de question qui se bousculait dans la tête de Momiji.

Doucement, Momiji s'écarta de son frère et sortit de son futon. Doucement il alluma la lampe qu'il utilisait pour lire le soir. Une faible lumière envahit la pièce, Il tourna rapidement la tête vers Wakaba, mais se dernier ne fit que bouger un peu...
Momiji poussa un soupir de soulagement pour ne pas avoir réveillé son petit frère. Lentement et aussi discrètement que possible il se dirigea vers son bureau...
Une montagne de souvenir en tout genre, était entassé dans un monstrueux bazar, il n'avait jamais vraiment pensé à le ranger :
Une carte postale de la grande muraille de chine, souvenir du temps ou il avait vécu en Chine pendant quelque années avant la naissance de Wakaba...
Des photos de vacance au USA, les visite a papy et mamy du coté de son père...
Un vieil article de journal, qui relatait l'accident qui les avait privés de leurs parents, trois ans auparavant, alors qu'il n'avait que douze ans et son frère, a peine un an...
Voir tout ses souvenir le rendait nostalgique mais c'est vers un petit livre qu'il dirigea sont attention : le journal que tenait sa mère sur la croissance de ses enfants.
Les premières pages parlaient de lui quand il n’était encore qu'un bébé, se passait soit au japon soit en Amérique. Certaines des notes de sa mère, comme ses premier pas, était quelque peut gênant... Une petite note, en bas de page, était noter sur l’époque ou celui ci avait 3 ans, disait que Momiji avait fait éclater un maillot de base ball que son père voulait lui faire mettre... les mots "sort héréditaire" était encore lisible mais le reste de la note était illisible...

-"C'est comme sa que j'ai manifesté le sort... je ne m'en souvenais pas la première fois que j'ai lu se journal et je ne m'en souviens pas plus aujourd'hui..." dit il dans un soupir, avant de mettre par réflexe, la main sur la bouche et de regarde son frère qui ne fit que marmonner dans son sommeil...
Momoji reprit sa lecture, âpres quelque instant pour être sûr de ne pas avoir réveillé son frère...

-"Sa t'était pas obliger de le noter..." murmura en lisant un passage parlant de sa petite enfance sur le fait qu'il avait tenté d'impressionner ses copain de l'époque en avalant un piment d'un coup mais avait vomi aussitôt après...

Momiji fit rouler les pages histoire d'avancer un peu plus loin... il reprit sa lecture sur les pages qui se passait en chine, avant la naissance de Wakaba. Son père travaillant dans l'humanitaire, ils avait dut déménager sur place à cette époque, au début Momiji avait eu beaucoup de mal a s’intégrer a son nouvelle environnement, c'est en se liant d'amitié avec une fille local qu'il avait commencer à voir les bon coté de leur déménagement...
Certaine note précisait, que c’était le père de cette jeune fille qui leur enseignait le Tai-chi et les avait rapprochés...

"Je me demande bien se qu'ils sont devenu, dommage que je n'ai pas gardé leur adresse..." pensa t'il avant de faire rouler à nouveau les pages...

Alors qu'il lisait les page un sourire de dessina sur son visage, il se souvenait de se passage : cela c'était passé quelque temps âpres leur retour au japon, il y avait environ quatre ans, à la maternité ou son père l'avait emmener pour revoir sa mère, mais quand il avait vu Wakaba pour la première fois, Momiji avait tendu sa main vers le bébé qui attrapa son doigt, c'était à se moment Momiji n'avait pas pu s’empêcher de ressentir un amour aussi vaste que l'océan pour le nouveau né...

Momiji continuait a lire les note de sa mère, quand une larme vint couler sur sa joue. L'écriture des notes de la page sur laquelle était fixer son regard n'était plus la même : cette écrite, c'était la sienne, la page était celle ou il avait reprit le relais le jour du décès de leur parents...

-"Tu ne dors pas ?"
Une voix rompit le silence de la nuit, sa grand-mère maternelle se trouvait dans l'embrassure de la porte de sa chambre, cette même grand-mère qui les avait recueillit à la mort de sa fille...
Elle l’invita a passer dans une autre pièce pour ne pas réveiller Wakaba.

Après avoir accompagné Momiji à la cuisine, elle commença par préparer du thé et en servi une tasse à son petit fil.
-"Tu dois avoir beaucoup de question qui te traverse l’esprit… " Commença-t-elle "et c’est tout à fait normal. Sache seulement que je ne suis plus toute jeune et un jour il te faudra prendre la relève. Je ne te parle pas t’occuper de Wakaba mais bien de le protéger des fléaux… "
Momiji, savait depuis longtemps que sa grand mère, tout comme feu sa mère, les voyait. C’était elle qui lui avait apprit à maitriser son sort quand il était petit mais il n’avait que très rarement vu sa mère se battre. Quand à sa grand-mère, elle avait depuis longtemps prit sa retraite et ne combattait plus.

"Je me doute que quitter cette maison peut te sembler difficile mais croit moi c’est la meilleur solution. Tu peux te servir du sort de notre famille mais si tu ne sais pas combattre efficacement les fléaux, se ne sera qu’une question de temps avant que le pire ne se produise… c’est d’ailleurs pour cette raison que je t’ai inscrit a l’école d’exorcisme de Tokyo… "

Comment faisait sa grand-mère pour mettre le doigt pile ou il le fallait, se demandait Momiji, alors que sa grand-mère, lui racontait comment sa mère avant lui avait étudié sur le banc de l’école, comment elle avait lutté pendant un temps avant de quitter l’exorcisme quand elle rencontra son futur mari…
Au fur et à mesure que sa grand-mère lui racontait les aventures de sa mère, les crainte de Momiji s’atténuait, c’est quand elle ajouta que se n’était pas comme si il serait couper du monde, il pourrait toujours appeler ses proche ou leur écrire, et qu’il pourrait toujours revenir de temps en temps que ses doute furent apaiser.
La nuit étant déjà bien avancer, sa grand-mère lui dit d’aller se coucher.

Quelque jours plus tard, à la gare, devant son train prêt a partir pour Tokyo, alors qu’il allait partir sa grand-mère, lui dit que sa fille bien aimée aurait été fier de son fils, elle lui donna également une boite affirmant que c’est avec cette arme que combattait sa mère. Momiji montât dans le train et prit place sur un siège.
Alors que le train s’éloignait, sa famille s’éloignait, de même que sa ville, son chez soit… Momiji ouvrit la boite que sa grand-mère lui avait donnée, pour découvrir un pendule au câble particulièrement long…

"Okay, c’est pas se que j’espérai… Première chose à faire a Tokyo : acheter un portable !" Annonça t’il, non sans une note de nostalgie dans sa voix.