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May Destruction Bring Creation - Homura Ibara [fini]
Homura Ibara
Membre de l'Ordre Occulte - Classe 2
Homura Ibara
Messages : 90
Puissance Occulte : 2313
Date d'inscription : 02/01/2024

Compétences
Hors-Exorcisme: 250
Sort inné: Fleur Eternelle - 1700
Sorts Occultes:
Homura Ibara
Mar 2 Jan 2024 - 19:52
image_du_haut
Homura Ibara
Feat Akyza (5Ds)
image_identite
Nom : Homura
Prénom : Ibara
Surnom : Rouquine
Age :23 ans
Genre : Femme
Nature : Humain
Groupe : Ordre Occulte
Objectif(s) : Débarasser le monde des non-exorcistes.
Prendre sa retraite à la campagne avec un jardin.
Trouver l'amour(s) de sa vie
La rose éternelle ─ Ibara a sous ses ordres un fléau appelé "Le protecteur de la rose éternelle". Il a l'apparence d'un dragon noir couvert de pétales rouges capable de faire pousser des ronces et des ronces de tailles variables. Sa taille et puissance dépendent directement d'Ibara, cette dernière n'ayant en contrepartie aucun autre pouvoir.

Description Physique
Ni très grande, ni particulièrement petit en plafonnant à un respectable mètre soixante-treize, Ibara est une jeune femme dans la fleur de l'âge en ayant peut-être trop vue pour son âge. Elle avait le corps d'une jeune femme, mais les yeux d'un vétéran, fatigués et creusé, avec que peu de lumière en eux. Un contraste impressionnant avec les traits doux et fins de son visage, ce regard mauvais étant amplifié par la couleur sang de ses yeux n'ayant d'égaux que ses cheveux du même éclats.

Son accoutrement ne donnait pas la meilleure des impressions non plus, on pourrait la qualifier de sorcière des temps modernes, ou d'excentrique. Elle est déterminée à conserver sa couleur rouge partout où elle va par le biais de sa veste en cuir, et à prolonger cet impression de paradoxes en l'accompagnant d'une juste mi longue et de hautes bottes. Bien qu'il y ait quelques variantes, c'est la majorité de sa garde-robe.

Elle porte également des bijoux, entre autre une décoration en argent qu'elle utilise pour enrouler ses cheveux et éviter d'avoir des mèches devant les yeux, mais aussi des bagues, des chaînes fines, des boucles d'oreilles, une véritable délinquante. Elle est néanmoins dépourvue de tatouage, sa peau beige n'est interrompue que par des marques de sévices corporels et des stries, seul vestige de son ancien poids et une de ses fiertés.
Description Mentale
Un animal blessé par ses propriétaires mettra un temps monstre avant de faire confiance à qui que ce soit, quitte à retourner à l'état sauvage. Un chien étant retourné à l'état sauvage est en beaucoup de sens bien plus dangereux qu'un loup, car familier avec les villes humaines est bien plus vicieux qu'eux. Homura Ibara est, en de nombreux aspects, plus semblable à ces animaux qu'à une jeune femme. Blessée, elle l'a été plus de fois qu'elle ne pouvait le compter, et cela se reflète dans tous les aspects de sa personnalité.

Sa confiance est érodée, que ce soit en les autres, ou en soi. Douter chaque mot, chaque action, suspecter un intérêt caché ou un piège farfelu était une triste existence, mais celle de la rouquine tout de même. Si bien qu'on pouvait la trouver antagoniste, toujours avec quelque chose à redire, mais sans jamais affirmer ses idées pour trouver une solution. Le pire type de personne à avoir dans un débat, qui cache ses doutes et ses - bonnes ou non - idées derrière un masque d'agressivité.

Car oui, Ibara était souvent, si pour ne pas dire tout le temps, en colère. Contre tout et rien, principalement contre soi-même, si bien qu'elle s'insulte fréquemment à la troisième personne. Ces débordements ne duraient jamais bien longtemps, cependant, elle avait appris à les craindre et les contrôler simultanément, avec des résultats assez mitigés, mais existants. Dans ce but, Ibara avait une routine : replacer son bijou dans ses cheveux, c'était suffisamment efficace pour lui calmer les nerfs, même si c'était délicat à faire avec les mains tremblantes.

Être colérique ne suffisait pas à mériter la comparaison avec un animal retourné à l'état sauvage, mais ce n'était également pas la seule émotion qui caractérisait la rouquine. Les Anglais ont une expression pour son cas, une "scaredy cat", ou un chat froussard. Ce qu'il faut en comprendre, c'est qu'elle est en permanence sur ses gardes, et pourtant sursaute et tremble au moindre mouvement brusque, au moindre son un peu trop fort. Cette hypersensibilité ne provient d'aucun cas médical, mais purement psychologique, sans que ce soit lié à un manque de courage particulier.

Ces réflexes sont donc à blâmer, des réflexes qui ont été forgés très tôt dans sa vie et qui s'accompagnent de tout désir des enfants maltraités : l'amour. Mais lequel ? L'amour maternel ? Parentale ? Non, elle ne trouvera jamais plus de réconfort dans ce type de relation. Platonique ? Non plus, c'était bien trop peu, un simple seau d'eau n'éteignera jamais à temps une maison en feu. L'amour, dans sa forme la plus brute, la plus passionnée, la plus charnelle. Ibara voulait être aimée de son opposée, ou de son semblable, d'une ou de plusieurs, qu'importe, elle voulait être le monde de quelqu'un, être tout ce qu'il voulait protéger, et l'aimer aussi fort.

Mais pas par n'importe qui, où plutôt comme elle le dirait, pas par n'importe quoi. Car toute sa rage avait une cible bien plus facile à détruire que soi, la raison de tous ses malheurs : L'humanité, l'ancienne humanité, celle incapable de contrôler son énergie occulte. Celle qui l'a toujours abandonnée, rejeté, peu importe les efforts qu'elle faisait. Celle qu'elle exterminera pour l'avènement de l'ère des exorcistes
Histoire
Dans un pays traditionaliste comme le Japon, l’adultère était un crime qui se faisait tout petit, non pas car il était inexistant ou négligeable, mais parce que cela restait entre le couple pour des questions d’honneur et de législation difficiles pour un divorce. Dans ce cas, quelles étaient les conséquences pour un adultère ?

Un bâtard. Ou dans ce cas précis, une bâtarde. Une preuve vivante de l’infidélité de la mère de par ses cheveux rouges incandescents du nom d’Ibara Homura (prénom, nom). Sa naissance fêtait la mort de ce couple, l’amour n’y était plus, chaque jour, le père regardait la preuve que son mariage s’est pris le mur, chaque soir, la mère devait mettre au lit la culmination de ses erreurs. Dans ces conditions, maintenir une maison stable pour un enfant était déconseillé, mais par miracle, ils arrivaient à retarder jour après jour l’implosion du domicile.

De faux sourires, des baisers remplis de rancune, des contacts emplis de dégoûts, tout ça, pour offrir un cadre familial stable à une enfant qu’aucun des deux n'aurait voulu avoir. Mais la comédie avait des failles,  qui devenaient de plus en plus visibles avec l’âge grandissant de la seule spectatrice. Les parents des autres enfants dormaient dans la même chambre, pas les siens. Eux voyaient leurs grand-parents, les siens étaient bel et bien vivants, mais elle ne les avait jamais vus. Lorsqu’ils ne regardaient pas leurs parents, ils continuaient de s’aimer, mais du coin de l'œil, Ibara ne voyait sur leur visage que la honte et la rage.

Sans le dire, elle avait remarqué que tout cela n’était qu’une mascarade, de la fumée et des miroirs. Une situation qui ne s’arrangera probablement jamais, et dont elle en était la cause et le catalyseur inconscient. Plus que sa relation avec ses parents, ou plutôt avec sa mère, on ne pouvait pas décemment dire qu’elle connaissait son père plus qu’elle ne connaissait le jardinier de son école primaire, c’était la relation entre les deux qui pourrissait à vue d’œil.

La rouquine n’avait aucune idée qu’elle était la cause de tous ces problèmes dans sa maison, du moins, pas consciemment. Lorsqu’elle consolait sa mère un soir en l’ayant trouvé dans la cuisine alors qu’elle voulait un verre d’eau, elle pensait que c’étaient des problèmes que tous les adultes avaient. En voyant son père rentrer chez elle, ivre et sans lui adresser un regard, ou un rempli de dégoûts, Ibara était convaincu que c’était normal, que les pères n’aimaient pas ouvertement leurs enfants, qu’il fallait leur laisser leur espace.

Évidemment, petit à petit, elle comprit que non, rien de tout ça n’était commun, normal ou acceptable, mais pas suffisamment pour voir que tout cela n’était pas sa faute. Cette réalisation s’était accompagnée d’une dépression, qui à son alors jeune âge, s’était transformée en crise de boulimie. Elle n’était pas fine ou grosse avant, elle avait simplement le physique d’un enfant, mais vers ses huit ans, il était clair qu’elle avait pris du poids, beaucoup de poids.

Tout s'était aggravé, la comédie s’était arrêtée et maintenant, les problèmes de sa famille dysfonctionnelle étaient à ciel ouvert. Son père exprimait son rejet pour sa fille et sa haine envers sa femme ouvertement, et continuait de boire comme un trou, sa mère était devenue un paillasson, écrasé par sa culpabilité qui pour s’alléger l’esprit, répondait positivement à chaque caprice de sa fille, la laissant s’embourber dans l’obésité et l’instabilité émotive. En quelques mots, Ibara se gâtait.

Les enfants étaient certes perceptifs, mais manquaient de maturité, ils voyaient que la rouquine était et vivait différemment d’eux, mais réagissaient primitivement. Oui, c’était le début des problèmes en dehors de sa maison. L’exclusion et le harcèlement scolaire. L’école était devenue son seul refuge avec le temps, et maintenant, on ne pouvait plus dire qu’elle allait à l’école avec le sourire. Son cercle d’amis avait rétréci jusqu’à ne contenir plus personne d’autre, alors qu’en comparaison, les personnes se moquant ouvertement d’elles s'empilent.

Affaires dans les toilettes, graffiti sur la table, même une fleur dans un pot à la fin de l’année, Ibara était passée par toutes les étapes, sauf une, ou du moins, qu’une seule fois. Un jour, un groupe de filles de son âge a cherché à la frapper, plus précisément, des claques, cela n’était arrivé qu’une fois, et plus jamais ensuite. Leur victime ne s’était pas défendue, elle n’était pas assez forte pour se débarrasser de trois camarades de son âge, seule du moins. Lorsque la maîtresse avait demandé la version de ses agresseuses, elle avait répondu qu’Ibara les avait mordu, mais elle, elle savait ce qu’il s’était vraiment passé.

Elle avait un gardien, un protecteur, un ange gardien. Une rose avec des yeux et des pattes qui avait mordu les mains qui voulaient la blesser. Ibara avait vu beaucoup de plantes, la botanique était sa passion, mais elle n’en avait jamais vu qui avait des yeux et des pattes, encore moins une qui la protégeait. La maîtresse avait simplement décrété qu’elle avait menti, mais même si celles impliquées l’avaient bien rationalisée, les dents de la jeune fille n’étaient pas pointues, contrairement aux marques sur leurs mains.

“La sorcière”, ce surnom avait comme origine cet événement, et l’avait accompagné dans le collège, mais il y avait du nouveau, du pire. Son père avait commencé à se montrer violent envers sa mère bien avant qu’elle n’entre au collège, mais maintenant, cette violence s’étendait à elle depuis qu’elle avait été catégorisée comme une “enfant à problème” par sa professeure. L’excuse qu’il attendait, Ibara pensait à chaque fois qu’il trouvait une nouvelle raison de montrer sa haine envers elle.

Ignorée au collège, maltraitée à l’école, et n’ayant comme seul ami un être imaginaire n’apparaissant que pour la défendre, la rouquine était destinée à la délinquance, mais pas à vouloir l’extinction entière d’une espèce. Si la cocotte minute qu’était son domicile avait tenu quelques années de plus, probablement. Mais l’un des trois a craqué avant, et une tragédie en a résulté. Qui a craqué, Ibara ? Son père ? Non, c’était sa mère, celle qu’elle suspectait le moins de commettre un meurtre par passion.

Ses raisons ? L’exorciste n’en savait pas grand-chose, elle n’avait plus porté attention à l’état de sa mère depuis que ses problèmes s'empilaient. La réalisation était venue lorsqu’elle était à la porte de sa chambre, couteau de cuisine à la main et l’air absent. Ce qui avait suivi avait laissé beaucoup de légistes bouche-bées. Elle s’était pendue … avec des ronces ? Sans que de ronces soient trouvées, et avec le témoignage perturbant de l’adolescente.

Son ange gardien s’était révélé sous ses yeux comme un démon, elle était sous la protection d’un démon à la forme d’une rose. Un démon qui a tué sa mère, qui a avant cela tué son père. Elle avait longtemps considéré les rejoindre, et l’aurait probablement fait si elle n’avait pas rencontré ses sauveurs. Les exorcistes ? Non, mais pas non plus leur opposé.
Ceux qui lui dirent que les malheurs lui collant à la peau ne sont pas sa faute, ni de celle de son sort inné. Qui lui fit découvrir ce qu’elle était vraiment, et qui étaient les responsables. L’Ordre Occulte. Avec toutes ces révélations, Ibara avait trouvé un nouveau but dans sa vie, un nouveau sens d’appartenance à ce monde. Elle avait repris sa vie en main, récupéré sa santé et un corps sain au fil de longues années d’effort, tout ça pour servir la cause de ses sauveurs.

Mettre à terme au malheur des exorcistes, les fléaux, en supprimant la cause : les non-exorcistes.
Toshiyuki Umino
Exorciste Classe Semi 1
Toshiyuki Umino
Messages : 118
Puissance Occulte : 2733
Date d'inscription : 26/08/2023

Compétences
Hors-Exorcisme: 0
Sort inné: Emptyness - 1200
Sorts Occultes: 1000
Toshiyuki Umino
Jeu 4 Jan 2024 - 15:23
Bienvenue !
C'est l'heure de la validation !
Bien le bonjour, mais surtout bienvenue sur le forum !  J'espère qu'il est à ton goût.

Tu es désormais validée, en tant que membre de l'ordre occulte, de Classe 2. Zexal > 5D's et Yuma > Yusei ! 8D

Ton personnage commence l'aventure avec 1 750 points de puissances.
détail de la notation:

Maintenant que tu es validée, voilà la suite :

→ Réaliser ta fiche technique [ici], pour pouvoir te mettre sur la gueule avec tes petits camarades.
→ Rejoindre le discord [ici], si ce n'est pas déjà fait. On est sympas (sauf un mais je dirai pas qui)
→ Commencer à rp ! Tu peux trouver des partenaires [ici], ou dans le canal correspondant sur discord.
→ Si tu as déjà un partenaire avec qui RP, n'hésites pas à passer par le [système de mission] où le staff te donne un contexte pou RP. Une mission, une rencontre... Les joies du hasard !

De nouveau, bienvenue et amuse toi bien !
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