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꧖O' ― I don't wanna hear lies anymore [UC]
Okiku Sato
Okiku Sato
Messages : 1
Puissance Occulte : 0
Date d'inscription : 07/03/2024
Okiku Sato
Jeu 7 Mar 2024 - 19:04
image_du_haut
Sato Okiku
Feat Akali - league of legends
image_identite
Nom : Sato
Prénom : Okiku
Surnom : O' où "l'infirmière".
Age :23 ans
Genre : Femme
Nature : Humaine
Groupe : ?? Pas sûre encore ??
Objectif(s) :Les buts et objectifs d'Okiku sont centrés sur sa quête d'indépendance, sa recherche de vérité, son désir de servir les autres à travers la médecine, et son aspiration à trouver un sens à sa propre existence en dehors des contraintes imposées par son passé et son clan.
Masutāshingā ─ Permet d'influencer autrui à l'aide de son énergie occulte, activé par contact avec la cible. Elle a la capacité d'induire des illusions, de susciter des émotions artificielles comme l'amour, l'amitié ou la peur, et même de modifier les souvenirs. L'intensité de cet effet dépend de la durée du contact et de la volonté de la cible.
Description Physique
Décrire physiquement son personnage.
Description Mentale
Décrire mentalement son personnage.
Histoire
Dans l'enceinte silencieuse du monastère Sato, où les vents murmuraient les nobles vérités et les montagnes conservaient les secrets, une étreinte interdite tissait des fils de destin. C'était une histoire éclipsée par les ombres des rituels exorcistes, une trame dissimulée sous la surface immaculée des enseignements bouddhistes. Miyuki Sato, une femme baignée dans la rigueur des traditions, fut la protagoniste d'un amour clandestin en dépit des préceptes du clan, elle succomba à l'appel de la tentation, et dans les replis secrets des montagnes, naquit une relation adultère.

Les rencontres furtives se déroulaient à l'abri des regards scrutateurs. Les murmures des feuilles et le chuchotement du vent accompagnaient ces instants volés. C'était une danse dangereuse entre deux âmes en quête d'une échappatoire à l'austérité des enseignements du clan. Les éclairs d'occultisme d'Otsuka entrelacèrent la liaison, avec son sort inné envoûtant, il ensorcela Miyuki. Les préceptes de détachement et de transcendance semblaient s'effacer devant le tourbillon des émotions interdites, dissimulant les traces de leur péché dans les replis de la réalité. Sous l'emprise de l'amour interdit, trahissait les nobles vérités du bouddhisme qu'elle était censée incarner.

Dans l'ombre des montagnes qui murmuraient les secrets millénaires du clan Sato, Otsuka Noda ourdissait ses sombres desseins. Il voyait bien au-delà des frontières du présent, tissant des fils invisibles qui lieraient les destins de nombreux clans à sa volonté impitoyable. Pour lui, les enfants étaient bien plus que de simples héritiers de sang. Ils étaient des pions dans son jeu macabre, des soldats en devenir qu'il façonnerait à son image pour servir ses desseins les plus noirs. Avec son sort inné, il pouvait infiltrer les esprits, semer les graines de l'obéissance et de la loyauté, et créer des agents dormants prêts à se réveiller au moindre mot de commande. Miyuki Sato était une de ses cibles, une jeune femme mariée, héritière du clan Sato. Usant de son sort inné, Otsuka imprégna lentement l'esprit de Miyuki de sentiments qu'elle croyait être les siens, submergeant ses pensées de douceur feinte et de promesses trompeuses. Il lui offrit un refuge dans ses bras, une échappatoire à l'austérité des traditions claniques, lui faisant miroiter un avenir radieux loin des contraintes imposées par son mari et son clan. Sous l'emprise du sort, elle était devenue une marionnette entre les mains habiles de l'homme, tombant amoureuse de lui sans se douter des sombres desseins qui se cachaient derrière son sourire charmeur.

Séduite par les illusions tissées par son amant, chaque rencontre avec lui devenait une évasion, un moment de bonheur éphémère dans un monde où elle se sentait étouffée. Elle se laissa emporter par la passion dévorante qu'il insufflait en elle, aveuglée par les promesses d'amour éternel et de liberté. Les montagnes, témoins silencieux de cette liaison clandestine, conservaient les échos de murmures passionnés et de serments rompus. Pourtant, dans le secret de leur amour, naquit une vie. La grossesse, telle une fleur éclose dans l'ombre, révéla le fruit de leur transgression. La mère d'Okiku, déchirée entre l'extase de la maternité et la culpabilité de l'adultère, portait en elle le fardeau de son choix. Les montagnes savaient, les vents savaient, le clan comprit.

La jeune fille portait en elle l'héritage complexe de la transgression de sa mère. Chaque battement de son cœur, une mélodie tissée entre l'interdit et la loyauté, faisait écho à cette histoire d'amour insaisissable. Le clan Sato, informé de l'adultère après la venue au monde d'Okiku, réagit avec une combinaison de chuchotements désapprobateurs et d'acceptation pragmatique. Bien que le scandale fût révélé, l'attention du clan se tourna vers l'enfant et son avenir au sein de la famille. Les dirigeants, apprenant que le mari de Miyuki ne pouvait concevoir d'enfant, ajustèrent leur perspective, voyant dans cet adultère comme une solution pragmatique pour assurer la continuité du clan. L'indifférence persista envers l'acte lui-même, mais une forme de satisfaction émergea à l'idée que l'enfant, malgré ses origines scandaleuses, suivrait la voie du monastère pour contribuer au bien du clan. Les montagnes, témoins silencieux de toutes les révélations, semblaient porter le fardeau de cette histoire complexe. Le murmure du vent rappelait aux membres du clan que la vie était tissé de nuances, que même dans l'ombre de l'interdit, des leçons importantes pouvaient émerger.

L'enfance d'Okiku s'écoula dans l'ombre des montagnes, bercée par le murmure des nobles vérités et les leçons de détachement du clan Sato. Dès son plus jeune âge, elle fut plongée dans le monde rigoureux du monastère, où la vie suivait le rythme des enseignements bouddhistes. Élevée dans la discipline et dans l'austérité, Okiku s'immergea dans les préceptes du clan, bien que son histoire personnelle portait les stigmates d'une liaison interdite. Son quotidien était une succession de leçons classiques et d'études approfondies sur la philosophie bouddhiste. Les montagnes qui entouraient le monastère semblaient être les gardiennes de ces enseignements, veillant sur chaque pas des disciples en quête de transcendance. L'enfant absorbait ces connaissances comme une éponge imbibée d'eau, cherchant à comprendre les nobles vérités qui régissaient son existence.

Dès l'âge de six ans, Okiku fut soustraite à l'étreinte de sa mère, qui l'élevait seule depuis sa naissance, une mesure qui visait à lui enseigner la perte et la douleur sentimentale, chose qu'elle eut du mal à vivre, étant très proche de sa mère. Le monastère devint son nouveau foyer. Les journées étaient rythmées par des leçons ardues, des travaux de fermier pour apprendre les rigueurs du labeur, et des affrontements à mains nues entre disciples pour enseigner la douleur corporelle. Les rires enfantins furent étouffés par les leçons sévères de la vie. La discipline était inculquée dès le plus jeune âge, chaque journée représentant un nouveau défi pour la jeune Okiku. Les pleurs de l'enfance se mêlaient aux échos des enseignements bouddhistes, une symphonie particulière qui résonnerait dans son esprit tout au long de sa vie. Le clan Sato, imprégné de spiritualité bouddhiste, considérait la souffrance comme une étape nécessaire vers la transcendance.

Les premières années furent consacrées à l'apprentissage des préceptes fondamentaux du clan Sato. Okiku fut initiée aux mystères du Dharmachakra, la roue du Dharma, symbole sacré du clan. Elle absorbait les enseignements sur les huit marches vers l'éveil, chaque pas représentant une vertu à cultiver. La vie au monastère était un mélange de travaux pénibles dans les champs, d'entraînements physiques rigoureux et d'études approfondies sur la philosophie bouddhiste. Malgré son jeune âge, elle était curieuse et assoiffée de connaissances. Dévorant chaque enseignement avec une soif insatiable, cherchant à comprendre le sens plus profond de sa destinée au sein du clan. Les montagnes qui entouraient le monastère étaient ses seules confidentes, témoins de ses interrogations intérieures.

Son talent émergea lors des séances d'entraînement au maniement des armes. Okiku développait une aisance exceptionnelle avec les kamas et le bō, s'efforçant de maîtriser les techniques exorcistes du clan. Elle se battait avec détermination, ses mouvements gracieux mais précis, symbolisant la dualité entre, la souffrance et la recherche de l'éveil. Cependant, au fil des années, les coutumes strictes du clan commencèrent à peser sur les épaules d'Okiku. Les épreuves physiques et mentales, conçues pour enseigner la souffrance comme moyen d'atteindre l'éveil, laissaient des cicatrices tant physiques que spirituelles. Malgré sa façade souriante, elle enfouissait au plus profond d'elle-même des émotions refoulées, des doutes sur la voie qu'on lui avait tracée.

L'ombre de l'adultère de sa mère planait également sur son enfance. Les murmures du clan atteignaient ses jeunes oreilles, apportant une conscience précoce des complexités et des intrigues qui existaient au sein de la famille. Okiku, même dans son innocence, percevait la dualité entre les nobles vérités proclamées et les réalités moins nobles vécues par les membres du clan. Confrontée à ces épreuves, la jeune fille cachait ses émotions derrière un masque de sourire et de bienveillance. Elle était devenue une actrice de sa propre vie, refoulant toute émotion négative au plus profond d'elle-même. Le dégoût qu'éprouvait le clan éprouvait envers sa mère à cause de l'adultère forgea en l'enfant une réserve envers les enseignements du monastère.

Miyuki, avait été abandonnée par son mari, laissant derrière elle une existence marquée par la honte et la solitude. L'absence paternelle planait tel un spectre sur leur foyer, mais cet homme, le vrai père de l'enfant, Otsuka Noda, se glissait furtivement dans les interstices de cette obscurité. Il savait qu'il avait trouvé un nouveau moyen de réaliser ses ambitions les plus sombres. Il éduquerait en cachette l'enfant selon ses propres préceptes, usant de son sort pour effacer toute trace de la vérité et semer les graines de la manipulation dans son esprit innocent. Mais les Sato étaient un clan avec des traditions et des préceptes ancrés dans leur essence même. Malgré ses efforts pour imposer ses propres idéaux, l'homme savait que certains aspects de leur éducation demeureraient intouchables. Pourtant, avec son pouvoir occulte, il pouvait voiler la vérité, transformer sa "progéniture" en une parfaite réplique des Sato tout en cachant les influences pernicieuses qui l'avaient façonnée.

Chaque sourire furtif, chaque regard fugace, étaient les traces subtiles de son influence occulte. Les préceptes du clan étaient altérés, déformés par les pensées insidieuses injectées dans l'esprit de la jeune fille. Telle une fleur tentant de pousser à travers l'ombre, la fille montrait parfois des signes de rébellion. Des moments où elle semblait dévier de la voie traditionnelle tracée par le clan Sato. Ces éclairs de dissidence étaient les manifestations des manipulations occultes d'Otsuka. Les vents sifflaient des avertissements à ses oreilles, mais elle ne percevait que les murmures distordus de son père. La relation entre la petite fille et sa mère était teintée d'une tristesse profonde. Miyuki, en proie à la culpabilité et à l'isolement, ne pouvait que regarder sa fille grandir dans l'ombre d'une influence néfaste. Otsuka, toujours dissimulé, effaçant son existence à coups de sort inné, s'assurait que ses propres préceptes étaient gravés dans l'âme d'Okiku. Malgré ses manipulations habiles, il y avait quelque chose dans l'esprit de l'enfant qui résistait à son emprise. Un instinct, une étincelle de rébellion qui refusait de s'éteindre complètement.

Les journées d'Okiku étaient minutieusement organisées, chaque minute était planifiée, chaque instant était régi par une routine implacable. Chaque jour ressemblait au précédent, dans une monotonie qui pesait sur ses épaules comme un fardeau. Le réveil sonnait toujours à la même heure, ponctuant le début d'une journée qui semblait être une répétition sans fin. Okiku se levait, effectuait ses ablutions matinales avec une précision presque mécanique, puis se dirigeait vers la salle commune où les autres membres du clan Sato se rassemblaient pour les premiers enseignements de la journée. Les rituels se succédaient, les méditations, les exercices physiques, les leçons d'exorcisme. Okiku suivait le mouvement, comme une marionnette entre les mains des enseignants du clan. Chaque geste était répété à l'identique, chaque parole était assimilée sans vraiment être comprise. Puis venaient les repas, toujours pris en communauté, dans une atmosphère feutrée où chacun se contentait de manger en silence, absorbé par ses propres pensées. Après le repas, c'étaient les heures d'étude, où Okiku devait se plonger dans les textes sacrés et les enseignements des anciens. La journée se poursuivait ainsi, réglée comme du papier à musique, jusqu'au coucher du soleil. Et même une fois la nuit tombée, les activités ne cessaient jamais. Les veillées se prolongeaient tard dans la nuit, ponctuées par les récitations des mantras et les méditations nocturnes. Pour Okiku, chaque journée était une épreuve, un défi à surmonter. Mais au fond d'elle-même, elle savait que ce train-train quotidien ne pouvait pas durer éternellement. Un jour viendrait où elle briserait les chaînes qui la retenaient prisonnière de cette vie monotone et oppressante. Et ce jour-là, elle serait enfin libre de suivre sa propre voie.

Dès son plus jeune âge, Okiku ressentait en elle une aspiration profonde, un désir ardent d'une vie différente, loin des contraintes imposées par le clan Sato. Cette aspiration s'ancrait profondément dans son esprit, nourrissant ses rêves et ses ambitions. Alors que les autres enfants se conformaient docilement aux enseignements du clan, Okiku se démarquait par son esprit rebelle et son refus tacite de se plier aux normes établies. Elle savait instinctivement qu'elle était destinée à autre chose, à une existence qui lui permettrait d'exprimer pleinement sa véritable nature. Chaque jour passé au sein du monastère renforçait sa détermination à suivre sa propre voie, malgré les pressions et les attentes de son entourage. Elle refusait de se laisser enfermer dans un destin tout tracé, préférant tracer son propre chemin, même s'il devait être semé d'embûches et d'incertitudes. Pour Okiku, l'idée de vivre une vie conforme aux attentes du clan Sato était tout simplement inconcevable. Elle rêvait d'aventure, de découverte, de liberté. Et même si elle devait affronter l'opposition de son propre clan, elle était prête à tout pour réaliser ses rêves et échapper à son destin préétabli.

Okiku en avait assez. Assez de vivre enfermée dans les murs oppressants du monastère, de suivre des règles strictes et des rituels monotones. Elle aspirait à une vie différente, à une existence où elle pourrait enfin être elle-même, sans contraintes ni jugements. Alors, elle a décidé de faire le mur. La nuit venue, Okiku s'échappait furtivement des griffes du monastère. Elle se faufilait dans les ruelles sombres de la ville, à la recherche de liberté et d'aventure. Elle rencontrait des gens étranges et fascinants, des âmes perdues comme elle, prêtes à tout pour échapper à leur destinée préétablie. Armée d'une fausse carte d'identité et d'une soif insatiable, Okiku s'aventurait dans les bars, les lieux de déboire et de fêtes où se côtoyaient les personnes qui voulaient échapper a leur vie banale. Elle goûtait à l'ivresse de la nuit, se perdant dans les plaisirs éphémères de la jeunesse insouciante. Elle buvait jusqu'à plus soif, dansait jusqu'à l'aube, et vivait chaque instant comme si c'était le dernier. Pour une fois, elle se sentait vivante, libre de toute entrave, loin des regards désapprobateurs et des conventions étouffantes du clan Sato. Mais chaque aube ramenait son lot de réalité brutale. Okiku devait retourner au monastère, retrouver sa place dans l'ordre établi, comme si rien ne s'était passé. Mais au fond d'elle-même, elle savait que cette vie de liberté et d'insouciance lui manquerait terriblement. Et pourtant, elle était déterminée à poursuivre son chemin, à vivre sa vie selon ses propres termes, malgré les obstacles qui se dressaient sur sa route.

Okiku n'était pas seule dans sa quête de liberté. Elle entraînait avec elle quelques membres de sa famille, des enfants qui étaient devenus comme des frères et sœurs pour elle. Liés par le sang et les noms, ils représentaient tout ce qu'elle chérissait dans ce monde oppressant. Elle voulait partager avec eux ce goût de la liberté, cette soif insatiable de vivre pleinement. Peut-être que ce n'était pas la décision la plus sage, elle en avait conscience. Mais l'appel de l'aventure, le désir ardent de briser les chaînes qui les retenaient tous les enivraient bien plus que la peur des conséquences. Ensemble, ils traversaient les rues de la ville, explorant chaque recoin avec émerveillement et excitation. Ils partageaient les rires et les frissons de l'interdit, se promettant mutuellement de ne jamais abandonner cette quête de liberté, quoi qu'il arrive. Pour Okiku, ces moments étaient précieux. Ils représentaient une échappatoire à la monotonie de sa vie quotidienne, une lueur d'espoir dans l'obscurité qui l'entourait. Et même si elle savait que chaque nuit d'aventure les éloignait un peu plus de la sécurité du clan Sato, elle ne regrettait rien. Car dans le cœur de ces enfants, elle voyait briller la même flamme de rébellion et de détermination qui animait son propre être. Et ensemble, ils étaient prêts à affronter tous les défis, à défier tous les obstacles, pour conquérir leur liberté.


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