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Sleep tight and regret, darling - Shirayuki
Shirayuki
Shirayuki
Messages : 1
Puissance Occulte : 350
Date d'inscription : 21/09/2023
Shirayuki
Jeu 21 Sep 2023 - 1:19
image_du_haut
Shirayuki
OC / Jeanne - Bayonetta de son vivant
image_identite
Nom : Shirayuki
Surnom : Yuki-onna, une légende qui lui est attribuée à tort
Age :27 ans en âge humain au moment de son décès. 2 ans en tant que fléau
Genre : Fléau à l'apparence féminine et insectoide
Nature : Fléau - Esprit vengeur d'une ancienne exorciste, bien que certaines personnes s'accordent à la voir comme un pseudo-spectre
Groupe : Indépendant (à recruter par le culte astral qui a normalement une main mise sur Shira)
Objectif(s) : Dévorer les êtres humains / Se venger / Redécouvrir le monde / Tâcher les légendes de son nom
Reitō no tsubasa - Ailes gelées Son corps étant composé de neige, Shirayuki génère depuis les écailles de ses ailes de petits papillons qu'elle commande à sa guise. Ceux-là gèlent directement tout ce qu'ils touchent et piquent.
Description Physique
Il fait si froid au Japon, quand la saison des neiges se prend au plaisir de vous glacer le sang.

Pourtant, nombreux seront vos amis à vous avouer aussi qu'il s'agit de leur saison préférée...

Quelle flatterie pour cette tendre mais sauvage nature !

Lumières douces et vivantes dans les villages ;
Toits de chaume recourvertes d'un voile blanc, harmonieux,
Poissons grillées dans les airs au feu de bois et joûtes verbales alcoolisées;
Il y a de la beauté, sur l'immensité glacée de cet archipel légendaire.

Et ça chahute, dans les rues. Les habitants des petites campagnes admirent l'Hiver autant qu'ils craignent cette saison ; les légendes vous bon vent pour en former les plus belles histoires d'amour comme les plus terribles tragédies.

Mais les hommes, femmes, enfants, le Froid ne fait aucune distinction ; c'est un domaine trop ancien, trop redouté et dépourvu de chaleur pour toutes ces pauvres âmes qui voient défiler leur vies et leurs regrets sous leurs yeux.

C'est au Mont Fuji, dont le mont surplombe le haut des cîmes des rares conifères qui bloquent les pistes, que la neige s'abat et règne en maître.

Comme elle.

C'est un désastre fort heureusement temporaire, mais quand la tempête arrive, quand seulement les premiers flocons tombent, il est froid, implacable et surtout...

Impitoyable.

Et vous ?
Vous êtes perdus dans ce village. Le monde chante sa joie dans les étoiles de ce village, mais personne ne vous regarde. Personne n'entend votre estomac grouiller après des jours de disette.

Oui, vous êtes cette petite fille aux allumettes, pour les plus occidentaux d'entre vous. Vous rêvez et vous imaginez sans mal le repas que vous convoitez auprès d'une famille oppulente, et vous continuez d'espérer tragiquement un peu de confort malgré la brûlure de la neige...

Vous êtes perdus dans les montagnes. Seul, désespéré, vous avez usé de toutes vos ressources pour seulement, pouvoir voir encore un autre jour. Vous osez savourer l'instant à venir ; votre sauveur vous apportera -et il en a l'obligation- la chaleur d'un peu d'espoir.

La chaleur d'un foyer.

Mais il n'y a rien, ni personne pour vous relever.

Alors vous expirez votre dernier souffle, sous la chanson des flocons.
A vos côtés, sur la poudreuse, et vous ne savez pourquoi, se meurt un papillon.
Vous subissez le même sort que ce pauvre hère,
Perdu sous la morsure de l'hiver,

Et tandis que l'insecte cesse de bouger,
Votre cerveau divague.
Vous essayez de vous imaginer autrement qu'avec des lèvres gercées et bleutées, des joues rouges et des yeux boursoufflés, quand votre peau n'est pas déjà celle d'un mort.
Vous essayez d'imaginer que ce papillon, sorti de son cocon bien trop tôt pour survivre ne serait-ce qu'un dixième de son espérance de vie normale, est toujours vivant.
Vous auriez aimé avoir quelqu'un à vos côtés,
Alors vous imaginez ce quelqu'un.

C'est peut-être le floklore du pays qui vous parle, mais vous observez une femme élancée, tout de blanc vêtue. Ce n'est pas une apparition normale : de ses cheveux semblant aussi doux que le coton, se dressent deux antennes qui, soufflées par le vent, dansent comme les branches d'un sapin en plein hiver. Ses yeux gris-violines reflètent un sentiment très étrange...très humain. Trop humain. A son cou, et malgré sa nature insectoïde qui jure avec la saison, une fourrure lui procure un air de princesse des conifères...Ou plutôt, une entité dotée de griffes et d'écailles désormais dépourvues de joie.

Shirayuki est une immaculée dans cette flore maudite. Ce néant omniprésent pourrait vous en crever les yeux et le blanc, on le sait, est la couleur des défunts au Japon. Quelque part, le grisillement de ses très longues ailes font écho aux grelots des funérailles durant les grandes cérémonies, alors si l'on consent bien à accorder un aspect solennel à sa personne...

...Tout est inquiétant, dans cet esprit qui ne cache pas son plus grand péché : une gourmandise putride et un goût prononcé pour les flatteries, quand ce n'est pas une colère sourde qui lui tenaille ses entrailles.

Et si vous réunissez encore vos dernières forces, vous constaterez qu'elle a cet air un peu lassée et ce regard peu commode : jadis cruel, fier et intense, il trahit un caractère plus radical et cinglant en d'autres circonstances.

Mais "elle" a l'air triste et nostalgique. L'émotion est brève, fugace, la vision renvoie au râle d'un mourant. Partagée entre l'idée de laisser la montagne faire son oeuvre ou vous achever de ses propres mains...

Ou alors...Peut-être vous aider, moyennant au moins une bonne parole à son égard ?

Ah ! Et plus rien ne va !
Mais tout n'est que narcissisme, mensonge et dupérie.

Malgré la grâce d'une démarche silencieuse et d'une poigne que l'on devine solide et ferme, n'attendez rien d'une telle créature.

La Faim finit toujours par dévorer ses belles intentions et le bon sens ne fait pas partie de son vocabulaire.

Description Mentale
Ambitieuse - Passionnée- Arrogante - Sadique - Malicieuse - Désinvolte - Faussement calme - Faussement douce - Elégante dans la vie comme dans la mort - Curieuse - Partiellement amnésique en tant que fléau


"Je me suis réveillée dans ce monde comme si je sortais d'un nouveau cocon fait de plusieurs fils de sentiments éparses. Il était froid, triste, trahi...désespérement seul. Un maigre espoir m'animait néanmoins encore, quoiqu'il fut trop tordu pour être pur. Oui, c'était plutôt du désespoir, entre nous, de celui que ressentent les personnes qui trépassent dans les montagnes en solitaire et regrettent les adieux qu'ils n'ont pas prononcé aux vivants...

Pour être honnête, ma naissance a été douloureuse. J'ai erré pendant un temps, défoulé mes colères sur ceux qui brisaient l'harmonie et le silence des montagnes dans lesquelles j'ai succombé, avant de comprendre ce que j'étais, ou plutôt qui j'étais désormais. Et s'il me semblait avoir existé depuis toujours, je me sais également être un jeune flocon ; arrogant, vain et éphémère...Mais j'existe. Je souffle dans ces montagnes et je fais ce qui me plait, fut-ce dans les pleurs et les cris.

Je n'ai qu'un seul objectif, qu'un seul voeu : je dois tuer celui qui m'a tout pris, puis reconquérir toutes ces terres que l'humanité m'empêche désormais de fouler, quitte à les tuer...Les mettre à mon service.

Tous.

Je dois conquérir ces terres dénuées de neige, imposer le règne de la dague et pourquoi pas, me complaire dans ces victoires tâchées de sacrifices.

Pour le reste... je sais mes frères et soeurs fléaux sûrement plus vindicatifs que je ne le suis. Bien entendu, j'ai eu mes élans de cruauté gratuite par le passé, à mes premières heures et quand il fallait combler la faim et gagner en puissance. J'étais stupide...Comme eux, mais j'avais un deuil à faire : oui, le deuil de mon humanité, d'une vie en solitaire qui n'aura de sens que lorsque j'entreverrais, une fois de plus, une âme en peine venir s'éteindre dans les abysses de l'Hiver, entre mes griffes...

C'est un peu ma malédiction : j'ai cru bon d'achever, dans un premier temps, les nombreuses images de ma propre mort et ce, afin d'oublier la faiblesse dont j'avais fait preuve de mon vivant. Le geste était inconscient. C'était plus fort que moi, comme un instinct impossible à réprimer pour enfin, me signifier que je ne serais jamais unique dans mon trépas. Victime après victime, j'ai fait le tour de mon imagination et de mes cauchemars. Je vous fais l'impasse sur les sévices que j'ai pu accomplir sur tous ces hommes, sur toutes ces mères en mal d'enfants et sur tous ces étrangers qui ont bafoué le Mont Fuji. Ils sont morts, tous...Avec leurs rêves inaccomplis.

Mais quelle importance ?

Tout comme l'hiver se meurt et revient en maître, tout le monde finit par s'éteindre dans la solitude.

Alors non, je n'éprouve aucun remord.

Un beau jour, un homme s'est de nouveau perdu dans les monts. Lasse, je m'apprêtais à l'achever mais l'appréhension de la mort -et la folie d'un vain espoir- a comblé son absence d'énergie occulte. C'est sans doute dans ce début de détresse qu'il a pu m'entrevoir. Il aurait pu prendre peur, ou appeler de l'aide pour assurer sa survie comme tous les autres, mais il m'a juste observé avec une attention très délicate, très respectueuse. Ses lèvres ont proféré quelques mots, un appel à l'aide à mon égard...et ils m'ont surpris.

Flattée.

Oh, une part de moi voulait lui accorder une mort rapide et douce, mais dans la neige, nous sommes tous si petits et j'y ai décelé...un visage tendre ainsi qu'une idée plus pernicieuse encore. Un humain doit bien avoir un foyer, non ? Un autre endroit à hanter...Conquérir ? N'était-ce pas là  l'occasion de sortir de ma torpeur, de contempler ce monde vaste que je n'ai plus osé arpenté depuis mes années humaines ?

Dans la peur et la morsure de la nuit, j'ai vu son enfance, ses rêves, et tout ce que je n'avais plus et que je pouvais lui arracher en patientant un peu...Je brûlais d'envie d'entendre une toute autre symphonie, mais pour cela je devais patienter, juste assez pour découvrir son village. Je lui ai promis de l'aider, à condition de m'y mener.

Et je l'ai hanté comme un fantôme l'aurait fait !

Que ce soit de la curiosité ou quelque chose de plus profond, ses aventures de petit humain m'épargnaient pour un court laps de temps la morosité, le silence et la cruauté inchangée de la neige.

J'ai laissé faire, un temps. Après tout, plus haute serait la chûte...

Il était un peu ma chose, entre nous. Un théâtre vivant où je l'observais galérer avec les difficultés de la vie et peut-être bien...L'envier un petit peu.

Ohhh, c'est si beau, la liberté et l'amour !

Il pleura comme personne, le jour où j'ai enfin détruit ce qu'il existait autour de lui. Cette vue aussi, était magnifique à sa manière : je n'oublierai jamais sa douleur, le massacre à plus grande échelle qui en résulta...Et quel plaisir, quelle catharsis de mettre à feu et à sang toutes ces frêles petites vies qui me donnaient faim, si faim de tout.

C'était exquis ! Hélas, j'ai mes principes : ce petit homme mourra seul dans la neige...

Et maintenant ? Maintenant, j'aimerais être libérée de ces montagnes. Ressentir et voir de nouveau la crainte dans leurs yeux et les frissons de la vie...

C'est grâce à l'Homme, que j'ai pu avoir l'idée de ne plus rester accrocher au lieu où je suis née pour découvrir le reste de l'archipel et surtout, Tokyo.

Quant aux autres fléaux, s'il m'arrivait durant mes premières années de me chauffer les ailes, j'essaie de moins en moins de m'adonner à une quelconque forme de confrontation : j'ai passé l'âge du nouveau né.

C'est trop risqué.

Mais je ne les connais pas, ces autres entités qui partagent ma nature... On n'en voit pas beaucoup, par ici...Partagent-ils seulement un passé similaire ?

Et pourtant, ça ne m'empêche toujours pas de vouer de la haine pour les exorcistes. A raison : ils ont toujours été nos légitimes ennemis."
Qu'est-il advenu de Shira ?
"Vous vous êtes déjà posé la question ?
Ouais, vous savez : de comment on détruit un diplomate qui se pense intouchable ?

Ah ! Laissez moi vous la conter.
Cette sordide histoire de jalousie et de pouvoir..."

Ma vie de fléau
Il faisait froid...

Si froid...

Quelque chose m'avait consumé, s'était détaché de moi. Pendant un fragment de secondes, il me semblait savoir qui je suis, qui j'avais été, et pourquoi j'étais là à ressasser ma mort...Puis la minute suivante...plus rien. Le néant. Je n'arrivais plus à sourire...Je cherchais désespéremment un semblable autour de moi, mais il n'y avait personne. Pas une âme...Pas une vie.

Personne, hormis ces sentiments blafards et cette terrible de passer mes nerfs sur le premier venu.

Je crois avoir été humaine, pour ce que ça vaut. Pour autant, je ne m'en souviens pas. Je n'en ai pas envie, car ce serait me rappeler des détails qui pourraient bien me faire regretter une humanité dépossédée. Le destin, ou plutôt quelqu'un, avait choisi de me tuer et de me voiler la vérité. S'il y a donc un élément bien clair, c'est que je dois tuer cet homme.

Je dois tuer les humains, jusqu'à le retrouver.

Et tout au fond de moi, je sens la colère et la révolte gagner chacune des intentions que j'incarne désormais.

J'étais partie trop tôt...Bien trop tôt.
D'une manière qui ne convenait pas à mes volontés. Artificielle...Et peu élégante.

Alors pourquoi avais-je le sentiment d'être libre ? Pourquoi est-ce si bon de regoûter à toutes ces sensations passées ?

Je crois que je m'étais échappée de quelque part pour me terrer dans les montagnes. Je m'y sentais mieux ; les neiges et les lacs gelés étaient davantage en adéquation avec ma nature. Et tout était...Si calme. Je ressentais un réconfort et une quiétude toute particulière à me noyer de mes propres souvenirs disparates et imprécis. Les caresses du vent sur les plateaux hauts n'avaient d'ailleurs aucun égal...

Dans cet environnement, j'en étais devenue la Reine. Je me souviens encore de la première petite âme humaine venue à ma rencontre. Je ne saurais dire pourquoi, mais une joie incommensurable m'envahit à l'idée d'en rencontrer une...

Je l'avais aidé, malgré sa peur. J'en avait ressenti le besoin, qu'il soit rassuré un bref instant, dans mes bras, jusqu'à...

Jusqu'à le mordre. Le dévorer tout entier.

J'avais si faim.

Faim de savoir...
Faim d'existence...
Faim de puissance.

Puis d'autres ont suivi. Un par un, j'exerçais le même protocole. Je compris au bout de quelques semaines que ma faim n'était qu'un amalgame d'émotions négatives et une haine injustifiée pour le genre humain. Ô, je ne m'en formalisais pas...

Je savais dans ma nature.

Les mois passèrent dans cet exact procédé, jusqu'à ce qu'une rencontre me tira de ces mauvaises habitudes. Je fis la rencontre d'un jeune homme bien différent, mais familier. La curiosité l'emporta et pour la première fois de ma seconde vie, il ne me vint pas à l'esprit de lui faire du mal. Il était capable de me voir...Et m'avoua même que comparer aux autres, je n'étais pas aussi monstrueuse.

Le compliment me vint droit au coeur et me flatta suffisamment pour le suivre jusqu'à son village. Charmant, au demeurant. Ma présence ne fit néanmoins pas mouche. Des hommes plus avisés, plus puissants m'attaquèrent un beau jour...C'était la première fois que des exorcistes venaient tenter leur chance pour m'éradiquer.

Mais...

Pourquoi désiraient-ils m'éradiquer ?

N'étais-je pas l'un des leurs ?

J'étais perdue. Trahie...pourtant je commençais à me souvenir de Shirayuki...l'autre Shirayuki. Une exorciste, comme eux. Quelqu'un d'aimant, mais d'ambitieuse. Je tuais les fléaux, en utilisant mon sort inné et mes techniques de glace et...

Dans le miroir de mes papillons de glace, j'avais vu mon reflet.

Ce jour-là, j'ai hurlé une dernière fois tout ce qu'il restait peut-être d'humain en moi.

Résumé et chronologie :

- 1992 : Naissance de Shirayuki, du petit clan Asada; spécialisée dans le commerce de cristaux quand ils n'exécutent pas leurs tâches d'exorcistes. Elle prend le nom du clan, bien que ses papiers la nomment officiellement en tant que Shirayuki Miller. Si elle n'hérite pas du sort inné familial -lequel génère et contrôle des cristaux au toucher-, elle semble avoir en sa possession un dérivé que sa famille encourage à maîtriser. Dans l'ensemble, elle passe une enfance heureuse et ne se destine pas nécessairement à la chasse ; elle se voit suivre les traces de sa mère, et gérer davantage le commerce familial avec d'autres clans.

- 2006 : Le clan Asada agit lors du scandale relatif au prisme stellaire et à Tengen. Décès de plusieurs membres dont Kaede Asada, mère de Shirayuki. Son père la prend sous son aile mais le clan ressort amoindri de ces événements. Se faisant, ils prennent l'initiative de se montrer plus ferme avec l'entraînement de leurs successeurs, vouant les années à venir à perdre leur statut de commerçants.

- 2007-2010 : Shirayuki intègre l'école d'exorcisme de Tokyo et se forme aux arts occultes, dans le but d'expérimenter la chasse et d'y exceller. C'est une élève agréable mais surtout très réfléchie, aux techniques élégantes...Peut-être trop. Il y a une forme d'égocentrisme dans son caractère. Les professeurs pressentent déjà une faiblesse dans cette ambition et ce goût pour la beauté qui font les faiblesses et les prétentions de son clan.

- 2015 : Shirayuki enquête sur de nombreux enlèvements d'exorcistes et cesse ses activités annexes pour se consacrer aux missions plus fermes ; elle espère défaire, à terme, les cultes qui manigancent dans l'ombre. Il se lie d'amitié avec un exorciste indépendant qu'elle trouve fascinant et qui semble comme la guider.

- 2019 : Shirayuki disparait au cours d'une enquête. Un maître des fléaux est suspecté, mais certaines rumeurs mettent la faute (ou une absence d'initiative pour la sauver) sur un jeu de clan et de politique face à un gain de notoriété jugé trop fulgurant et par conséquent, dangereux.

-2019-2021 : Shirayuki hante le Mont Haku dans l'oubli et l'amnésie de sa vie humaine passée, si ce ne sont les regrets ainsi que la rancoeur de ne pas avoir été jusqu'au bout de..."quelque chose".

Elle sévit et prend un certain plaisir à malmener les âmes perdues, quand elle ne dévore pas les exorcistes venues la pacifier. S'amusant avec ses proies comme le ferait un chat avec ses souris, la jeune femme n'a plus rien d'humain : c'est un fléau qui transporte avec elle la barbarie, une soif de conquête et de sang.

Elle compose, vit avec ses envies sadiques et putrides.

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